Vaincre la procrastination est un sujet qui nous concerne, concerna tous à un moment ou l’autre. Avez-vous déjà vécu cette situation ? Vous avez une tâche à accomplir, comme remplir votre déclaration de revenus, mais vous la repoussez sans cesse. Vous vous dites que vous la ferez plus tard, quand vous serez plus motivé, plus concentré, plus reposé.
Cependant, le temps passe. Et vous vous retrouvez à la veille de la date limite, stressé, fatigué et insatisfait de vous-même. Vous venez de procrastiner !
Vous ayez un projet qui vous tient à cœur depuis des années, comme écrire un livre, ou perdre des kilos ? Pourtant, vous n’avez toujours pas commencé. Vous venez aussi de procrastiner !
L’efficacité personnelle passe pourtant par la nécessité d’arrêter de tergiverser, de procrastiner, et de reporter sans cesse ce que nous avons à faire.
Mais qu’est-ce que la procrastination exactement ? Pourquoi procrastinons-nous ? Quelles en sont les conséquences ? Et surtout, comment vaincre la procrastination ?
Pour lutter la procrastination je vous propose une méthode très puissante par sa simplicité : la stratégie du vide, également connue sous le nom d’inaction par l’action.
Vaincre la procrastination
Que veut dire procrastiner ?
L’étymologie de « procrastiner » vient du latin « procrastinare », formé à partir de « pro-» (en avant) et « crastinus » (du lendemain). Ainsi, procrastiner signifie littéralement « remettre à demain ».
La psychologie de la procrastination est très particulière. Lutter contre la procrastination ne revient pas à lutter contre la paresse. Cette attitude ne se réduit pas non plus à un simple problème de gestion de temps ou de priorités dans ses objectifs.
Quand l’horloge fait Tic-Tac : Margaux, la procrastination et les copies en attente
Inspirée d’une histoire vraie
C’était un dimanche après-midi ensoleillé. Margaux avait retrouvé ses vieux amis chez Nathalie, leur hôte généreuse, pour célébrer l’Épiphanie autour d’une délicieuse galette des Rois. Elle se sentait heureuse de partager ces instants de convivialité et de rire avec eux.
Mais, au fur et à mesure, que le temps passe, elle se sent de plus en plus anxieuse, stressée. Une petite voie intérieure lui rappelle qu’elle doit rendre le lendemain à ses collègues des copies pour le bac à blanc. Margaux les avait reçues depuis deux semaines. Elle avait commencé à en corriger un peu, mais l’envie n’y était pas, elle préféra profiter des congés, de temporiser et d’attendre. Jusqu’à ce fameux dimanche entre amis.
Sa petite voix intérieure lui rappelait une fois de plus qu’elle avait cédé à la procrastination, qu’elle avait attendu le dernier moment. Son manque de motivation l’a ainsi privé de moments précieux avec ses amis. Le sentiment culpabilité, de faible estime de soi n’était pas loin non plus.
Cette histoire met en lumière le dilemme intérieur que beaucoup d’entre nous connaissent. La procrastination peut parfois sembler une alliée temporaire, mais ses conséquences sur notre estime de soi et notre efficacité sont bien réelles.
La psychologie de la procrastination
La procrastination, cet art subtil de repousser ce que nous devrions accomplir dans l’instant présent, est un phénomène fascinant. Vous êtes-vous déjà demandé quel stratagème nous utilisons pour temporiser ?
La réponse est simple : nous gaspillons notre temps en nous lançant dans d’autres tâches ! Lorsque l’heure fatidique arrive, que nous sommes confrontés à une activité peu attrayante, notre esprit se met soudainement à foisonner d’idées urgentes à réaliser.
Comprendre la procrastination et ses stratégies d'ajournement
La procrastination se manifeste à travers des activités de diversion que nous utilisons pour nous distraire ou que nous substituons à une tâche ou un objectif à accomplir. Ces activités peuvent revêtir diverses formes.
Des divertissements (regarder un film, lire, naviguer sur Internet, etc.), des tâches moins prioritaires (ranger, faire le ménage, vérifier ses courriels, etc.), ou encore passer du temps avec des proches, un membre de la famille ou son partenaire.
Imaginez-vous devant une montagne de travail administratif, et soudain, l’envie irrépressible de nettoyer votre bureau ou de vérifier vos e-mails surgit. Ou alors, vous avez subitement envie de prendre un thé. C’est précisément à ce moment-là que la procrastination entre en scène.
Elle va nous détourner de notre tâche principale vers des activités plus plaisantes ou, du moins, moins redoutables. Pourquoi ce penchant pour l’ajournement ? L’anxiété joue un rôle clé. L’incertitude, le manque de confiance en soi et l’inconnu sont autant de facteurs qui nous conduisent à procrastiner.
Face à une tâche complexe ou pénible, nous optons instinctivement pour ce que nous maîtrisons déjà ou pour ce qui est moins pénible. Quand nous repoussons une activité pénible, nous privilégions une gratification immédiate à nos intérêts supérieurs.
Les cinq prétextes de la procrastination
Le plus grand obstacle à la vie est l'attente, qui espère demain et nèglige aujourd'hui
Sénèque Tweet
Au lieu de nous motiver devant un tâche rébarbative ou difficile, nous nous disons que reporter est acceptable. Gagner par une flemme subite, nous nous laissons convaincre qu’il y a un autre meilleur moment.
Prétexte #1 : je suis trop fatigué(e), je le ferai demain
La fatigue peut être un symptôme de la procrastination elle-même. Nous nous sentons stressés et démotivés par la tâche à accomplir. Au lieu de reporter la tâche, mieux vaut la diviser en sous-tâches plus faciles à réaliser. Se fixer un temps limité pour la faire, quitte à la reprendre plus tard peut aider.
Reporter une tâche peut sembler soulager temporairement, mais cela crée un cercle vicieux de stress et de fatigue.
Prétexte #2 : je n’ai pas ce qu’il me faut, je ne peux pas commencer maintenant
Ici, le présupposé est que les conditions doivent être parfaites pour faire la tâche. Or, il est rare que tout soit réuni pour commencer quelque chose facilement. C’est un peu comme vouloir prendre sa voiture à condition que tous les feux rouges soient au vert…
Prétexte #3 : je commencerai quand j’en aurai plus envie
L’idée sous-jacente est que la motivation serait une condition nécessaire pour commencer. Or, la motivation ne vient pas toujours spontanément, mais se construit progressivement en faisant. Et, si elle est essentielle sur la durée, elle n’est jamais un prérequis pour débuter.
Prétexte #4 : il fait trop beau pour y consacrer mon temps
Autrement dit, une tâche parce que ennuyeuse ou pénible est nécessairement moins importante… En réalité, l’importance d’une activité ne dépend pas de sa nature agréable ou désagréable, mais de son impact sur nos objectifs et nos responsabilités.
De même, la valeur d’une tâche réside dans sa contribution à nos projets à long terme. Et ceci est indépendamment de notre préférence personnelle pour son exécution immédiate.
Prétexte #5 : demain est encore là, j'ai le temps
Cette excuse repose sur l’idée que la tâche serait simple et rapide à faire. Or, elle peut être plus complexe ou plus longue qu’on ne le pense, et on risque de se retrouver à court de temps ou de bâcler le travail. Au lieu de sous-estimer la tâche, il vaudrait mieux l’anticiper et la commencer le plus tôt possible, en se donnant une marge de sécurité.
Tous ces pièges nous empêchent de passer à l’action et de réaliser nos projets. Pour arrêter de procrastiner, une première étape indispensable est de les reconnaître et les dépasser, en adoptant une attitude plus positive et proactive.
Nous pouvons décider de repousser une récompense immédiate. La procrastination n’est pas une fatalité, mais un choix que l’on peut accepter ou changer.
Le cerveau reptilien : la clé pour vaincre la procrastination
- Dès que je peux éviter une tâche désagréable, je l’évite.
- Si une tâche semble trop difficile ou ennuyeuse, je la fuis.
- Je préfère faire quelque chose d’agréable maintenant, même si cela signifie reporter une tâche importante.
- J’économise mon énergie et mes forces dès que je peux : ne rien faire, me reposer. Demain peut attendre, car pour moi, le futur n’existe pas.
Harmoniser nos deux cerveaux pour vaincre la procrastination : un défi quotidien
Toutefois, le cortex préfrontal est la partie de notre cerveau impliquée dans la planification, le raisonnement, le contrôle de soi et l’estimation des conséquences de nos actes pour l’avenir. Il comprend que reporter une tâche à plus tard peut avoir des répercussions négatives et essaie de nous inciter à agir maintenant.
Cependant, le cerveau reptilien a souvent le dessus, surtout lorsque nous sommes fatigués, stressés ou démotivés. C’est pourquoi nous finissons par procrastiner, même si nous savons que ce n’est pas dans notre meilleur intérêt.
Surmonter la procrastination nécessite de trouver des moyens de faire travailler ces deux parties de notre cerveau ensemble. Cela implique de rendre les tâches désagréables plus agréables, de diviser les grandes tâches en petites tâches gérables, ou de trouver des jalons motivants.
Procrastination : un mal nécessaire ou une mauvaise habitude ?
Procrastiner signifie reporter une tâche ou un objectif que l’on sait important; difficile ou utile, au profit d’autres activités plus agréables, plus futiles. Ce comportement peut avoir des conséquences aussi positives que négatives, qui vont influencer la tendance à procrastiner.
Procrastiner, procrastiner, il en restera toujours quelque chose
Quand on procrastine, on évite temporairement le stress, l’ennui, la frustration ou la peur que peut susciter la tâche à accomplir. On ressent alors un soulagement immédiat, qui renforce le sentiment que la procrastination est une bonne stratégie.
On peut aussi se rassurer en se disant qu’on respecte ses propres valeurs ou convictions, même si elles sont irrationnelles ou nuisibles. Par exemple, on peut croire qu’on travaille mieux sous la pression, qu’on est incapable de réussir, ou qu’on n’a pas besoin de faire d’efforts.
Enfin, on peut profiter des activités de substitution, qui sont souvent plus plaisantes ou gratifiantes que la tâche repoussée. On peut ainsi se divertir, se reposer, consulter ses mails ou les réseaux sociaux… Bref nous passons notre temps à gaspiller … notre temps !
Les dangers de la procrastination : quand l'échéance devient stressante
Si la procrastination procure des bénéfices à court terme, elle entraîne aussi des coûts à long terme par le stress qu’elle engendre.
Je travaille mieux quand je suis sous pression
Souvent, nous sommes amenés à penser que le stress est nécessaire pour accomplir nos tâches. Parfois, nous cherchons à augmenter notre niveau de stress. Bien des personnes utilisent sciemment le stress, comme une stratégie pour faire, se motiver donc.
Qui n’a jamais attendu le dernier moment pour faire sa déclaration d’impôts, pour rendre un rapport ? Combien de fois cette arme du stress est utilisée dans le monde du travail pour motiver les individus ?
A priori, cette stratégie semble marcher : les déclarations d’impôts sont faites, le rapport rédigé, les copies corrigées… Mais, en réalité, durablement, cette façon de faire est doublement néfaste.
Procrastination : se motiver par la peur ou se motiver par le plaisir ?
Attendre le dernier moment pour agir est un phénomène courant. Il existe d’ailleurs une journée mondiale de la procrastination, le 25 mars de chaque année. Des sondages ont montré que plus de la moitié des étudiants attendaient la dernière minute pour agir.
Temporiser est ainsi utilisé pour se motiver à agir lorsqu’une échéance approche. Plus l’échéance d’un examen approche, plus le stress augmente. Nous sommes typiquement dans un mécanisme du stress sollicité sciemment pour se motiver. Notre cerveau reptilien va s’en inquiéter, et va nous conduire à l’action.
La procrastination : avantages à court terme, désavantage à long terme
Cependant, une étude a révélé que ceux qui avaient tendance à procrastiner obtenaient généralement de moins bons résultats, que ce soit pour leurs rapports ou leurs examens de milieu et de fin de semestre.
Une deuxième expérience a été menée, cette fois en continuant à suivre l’état de santé des étudiants jusqu’à leur examen final. Les procrastinateurs étaient en meilleure santé au début du semestre, mais leur état de santé se détériorait rapidement à l’approche des échéances.
En fin de semestre, les procrastinateurs étaient beaucoup plus stressés que les autres étudiants. Le nombre de symptômes et de maladies qu’ils rapportaient augmentait nettement, annulant ainsi les avantages de santé dont ils avaient bénéficié au début du semestre.
La procrastination : quand la peur devient une motivation
Cette tactique ne peut toutefois fonctionner que si on se laisse suffisamment de temps avant le « délai de la mort ». Lors de cette étude, certains étudiants n’ont pas réussi à remettre dans les délais. Passé un certain seuil, toute la volonté du monde n’est plus suffisante pour sauver la situation.
Voulez-vous vraiment continuer à vous motiver par la peur ?
Bien que se mettre la pression en procrastinant semblent bénéfique à court terme, cela a des conséquences néfastes à long terme. Ce qui nous montre qu’une nouvelle fois, que ceux qui ont le plus de volonté ont une vie moins stressée, en faisant ce qui a à faire, au moment où il faut le faire.
Développer sa volonté est donc incontournable.
Vaincre la procrastination en suivant les conseils d'un grand écrivain
La procrastination est donc un comportement paradoxal, qui procure du plaisir et du soulagement, mais qui engendre aussi du stress et de la souffrance. Pour sortir de ce piège, prendre conscience des conséquences de la procrastination, et les comparer aux avantages de la tâche à réaliser, est une première étape.
L'arme la plus redoutable pour vaincre la procrastination
Il existe des stratégies pour lutter contre la procrastination et se mettre au travail sans attendre. Les techniques les plus citées sont :
- la matrice d »Eisenhower (en supposant que ce soit bien lui qui l’a crée !),
- la technique du Pomodoro,
- planifier sa journée, rédiger une liste de tâches et leurs priorités.
Je préfère celle de Raymond Chandler, qui est redoutable en efficacité.
Raymond Chandler est né à Chicago en 1888 et décédé à San Diego en 1959. Il est célèbre pour ses romans policiers mettant en scène le détective privé Philip Marlowe(1). Son œuvre a marqué l’histoire de la littérature policière, notamment le roman noir, par son style mêlant analyse psychologique, satire sociale et humour.
Cet auteur de romans policiers avait une méthode simple, mais efficace pour écrire régulièrement et produire des œuvres de qualité : écrire ou ne rien faire d’autre.
Pour l’anecdote, c’est cette technique que j’ai utilisée pour écrire cet article.
La stratégie du vide ou l'art de l'action par l'inaction
Sa technique consiste à se fixer un créneau horaire dédié à une tâche importante et à ne rien faire d’autre pendant ce temps. Chandler appliquait cette méthode à son travail d’écrivain. Il se levait tous les matins et consacrait au moins quatre heures à son écriture. Il n’avait pas besoin d’écrire, et ne devait pas essayer s’il n’en avait pas envie. Il pouvait regarder par la fenêtre, se tenir sur la tête, ou même gigoter dans tous les sens par terre. Mais, il ne devait rien faire d’autre – ni lire, ni écrire des lettres, ni feuilleter des magazines, ni faire des chèques.
Cette méthode repose sur le principe que si l’on s’interdit toute autre activité que celle que l’on doit faire, on finit par s’y mettre, ne serait-ce que pour tromper l’ennui. Cependant, il y a deux règles très simples à respecter :
- Il n’est pas nécessaire d’écrire.
- Ne rien faire d’autre. Le reste viendra tout seul.
Remarque importante : la règle (1) est fondamentale. Ainsi, il n’est pas nécessaire de… Prenons l’exemple de l’écriture d’un article pour un blog.
- Dès que vous commencez à vous dire « je dois écrire quelque chose», « je dois sortir cet article », alors vous êtes dans le mental et ses peurs. Vous risquez fort de vous mettre à faire quelque chose d’autre. La règle (1) a le mérite de nous focaliser sur le processus, pas sur le résultat.
- et, vous ne faites rien : vous ne consultez pas vos mails. Vous ne vous levez pas pour prendre un thé, pour ranger, non, vous restez assis à ne rien faire d’autre que d’attendre.
La procrastination à long terme : un danger qui vous empêche de réussir vos rêves.
Lorsque la procrastination devient une dépendance, plus tard devient, jamais
Ardit Beqiri Tweet
La procrastination que nous venons de voir est celle que nous connaissons tous : la procrastination à court terme. Elle se produit lorsque nous avons une échéance précise à respecter.
Nous avons vu qu’attendre le dernier moment pour finir ce que nous avons à faire, n’est pas la meilleure des solutions. Le stress nous pousse à réagir, et nous concentrer sur le danger à court-terme et sur les conséquences immédiates. Nous apprendrons à force qu’à fonctionner en mode urgence et sur des objectifs court termes qui doivent respecter un délai : faire ses impôts, terminer un rapport, rendre des copies à temps…
La procrastination maintes fois répétée devient jamais.
M. Cooley Tweet
La seconde forme de procrastination est beaucoup plus insidieuse. Elle se produit dans des situations sans échéance précise. Que ce soit pour lancer sa carrière d’indépendant, se mettre au sport, travailler sur sa relation amoureuse ou prendre soin de sa santé, aucune date limite n’existe pour ces choses. Rien ne se passe tant que nous ne faisons pas l’effort de commencer.
Dans ces situations, aucun danger immédiat n’existe, notre cerveau reptilien peut continuer à procrastiner, aussi longtemps que possible. Ainsi, il n’a aucune raison de se réveiller, car il n’y a pas d’échéance pour le faire paniquer. Les effets de notre procrastination ne sont pas contenus et peuvent se propager à l’infini.
La procrastination invisible : le piège des rêves reportés
Cette forme de procrastination à long terme est beaucoup moins visible et moins souvent discutée que la procrastination à court terme. Pourtant, elle peut être source d’une grande souffrance et de nombreux regrets. Elle peut nous transformer en simples spectateurs de notre propre vie, incapables de faire le premier pas vers la réalisation de nos rêves.
À ce propos, savez-vous que Margaux, notre professeur de français, se plaignait d’avoir trop de travail pour vraiment concrétiser ses véritables rêves ?
Une des techniques efficaces pour pallier ce type de procrastination est d’utiliser la méthode des 90 jours
Article recommandé : 90 jours pour planifier vos prochains objectifs et succès !
La video de Tim Urban : inside the mind of a master procrastinator
Pour finir, je ne résiste pas à vous faire partager, sous les conseils d’une amie, la video de Tim Urban lors d’un talk TEDX. Il explique comment fonctionne le cerveau d’un procrastinateur. C’est un véritable bijou ! N’hésitez-pas à la partager.
Maintenant ou plus tard : un mot de Seth Godin
En guise de conclusion, je laisse la parole à Seth Godin (3):
« Lorsque nous avons envie de faire quelque chose de égoïste, indulgent, blessant ou à court terme, nous pouvons simplement décider de le faire plus tard. Et lorsque nous réalisons que nous pourrions apporter une contribution utile ou faire quelque chose d’important, peut-être pourrions-nous le faire maintenant.«
À vous la parole !
Comment évitez-vous de procrastiner ? Quelles sont vos stratégies anti-procrastination ?
😊😊😊 Partagez votre expérience à travers les commentaires. 😊😊😊
Références :
- (1) : les meilleurs livres de Raymond Chandler
- (2) : voir l’étude du professeur canadien Piers Steer sur ce sujet
- (3) : Seth Godin, C’est ça le marketing
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